Saviez-vous qu’il existe trois types de cellulite et que pour la traiter efficacement, il est très important de l’identifier ? De la nature de votre cellulite dépendront en effet les gestes à adopter pour l’éliminer définitivement. Il existe d’abord la cellulite adipeuse, conséquence d’une alimentation trop riche en graisse et en sucre. L’énergie non dépensée par notre organisme est stockée un peu partout sur notre corps et se transforme plus tard en cellulite, se logeant facilement sur les cuisses. Pour en venir en bout de la cellulite adipeuse, il faut privilégier le pétrissage pour détacher les cellules graisseuses incrustées sous la peau. Commencez votre massage depuis le genou et remontez jusqu’en haut de la cuisse.
La cellulite fibreuse se caractérise par son aspect peau d’orange. Elle apparaît suite à la dégradation du collagène entourant les cellules adipeuses. À cause de cette dégradation, ces cellules graisseuses sont emprisonnées sous la peau. Pour combattre ce type de cellulite, il n’y a pas mieux que la technique de palper-rouler. Pour ce faire, prenez avec vos deux mains un pli de la peau et roulez d’avant en arrière. Évitez de trop tirer sur la peau, car vous allez vous faire mal. Cette méthode de massage aide à détendre la sensation de dureté et facilite la libération des cellules adipeuses.
La cellule aqueuse s’installe même chez les personnes minces. Elle est en général causée par une mauvaise circulation lymphatique et une tendance à la rétention d’eau. Ce type de cellulite est souvent accompagné de problèmes de jambes lourdes et de gonflements. On le trouve souvent sur les chevilles, les mollets, les cuisses et même les bras. Pour savoir si vous avez ce type de cellulite, il suffit de pincer votre peau et vous la verrez tout de suite. Pour vous en débarrasser, vous devez privilégier le massage combinant le pétrissage et les pressions. Commencez par la partie inférieure comme la cheville et remontez jusqu’en haut de la cuisse ou des hanches. Cette méthode aide à stimuler la circulation sanguine.
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