Selon la médecine, la spasmophilie est une réponse, une réaction brutale de notre corps par rapport à l’environnement où l’on vit. Un spasmophile est ainsi très sensible au stress et possède une grande tension nerveuse. Dans le milieu médical, on associe aussi la spasmophilie à une carence en magnésium et en calcium ; mais il a été démontré que ces carences ne représentent pas à elles seules les causes de cette maladie. Certaines théories affirment que la spasmophilie n’est pas une maladie. Le stress et les émotions s’accumulent chez le spasmophile et provoquent des réactions parfois spectaculaires chez celui-ci : hyperexcitabilité musculaire et divers troubles engendrant un dérèglement du système neurovégétatif. Parmi ces troubles, on note la fatigue, des palpitations, des étourdissements. Quand la spasmophilie arrive, le sujet souffrira ainsi de contractions des muscles, présentera une accélération du rythme cardiaque, un arrêt de la digestion et une grande perte de sommeil. Sans oublier aussi la probabilité d’une perte de connaissance.
On évoque aussi le terme de dystonie neurovégétative quand on parle de spasmophilie. En théorie, la dystonie neurovégétative est due à une grande anxiété et stress. Donc avant tout, un spasmophile est quelqu’un de très anxieux et très réceptif au stress. Le manque ou même l’absence de confiance en soi à faire face aux situations stressantes peut aussi être une des causes de la spasmophilie : le fonctionnement de l’hémisphère droit du cerveau est stoppé et les facultés de raisonnement disparaissent. Beaucoup d’éléments peuvent faire apparaître les crises de spasmophilie : disputes, longue attente dans une file d’attente, le climat, la température, une trop grande joie,… Ainsi, le spasmophile se fait souvent une idée négative de sa situation et de la vie qu’il mène.
Cette hyperémotivité, cette hyper réactivité peuvent se soigner par l’intermédiaire de la détente musculaire et de thérapies. Les thérapies telles que Training autogène de Schultz ou encore la Sophrologie de Caycedo, sont généralement utilisées. A celles-ci s’ajoute le Yoga, qui apportera beaucoup à la maîtrise de soi du patient. Les massages aussi ne sont pas en reste dans le traitement de cette maladie ; entre autres le massage shiatsu sur les points de digipuncture. Les travaux énergétiques peuvent aussi avoir leurs effets sur la spasmophilie : bioénergie, Qigong, … En dernier recours, on peut aussi utiliser la psychanalyse et ses méthodes de « rêve éveillé ». Le spasmophile apprendra ainsi à vivre avec le stress. La spasmophilie n’est donc pas une maladie sans solution.
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