Avec le stress et la fatigue chronique, la dépression nerveuse se range parmi les troubles et maladies faisant souffrir la plupart des gens dans le monde moderne. Qualifiée de trouble par certains psychologues et de maladie pour d’autres, la dépression nerveuse est d’une violence mortelle lorsqu’elle atteint le paroxysme de son évolution. La dépression nerveuse est causée par différents facteurs. Parmi ces facteurs nous pouvons évoquer le chômage prolongé, la rupture amoureuse, le veuvage, la perte inopiné de son emploi, la difficulté d’atteindre ses objectifs personnels dans la vie. La dépression nerveuse touche davantage les femmes que les hommes.
La dépression nerveuse se caractérise par une perte progressive de la volonté de vivre. L’individu perd petit à petit confiance en soi, devient de plus en plus faible physiquement et oublie de prendre soin de son apparence physique. La dépression nerveuse est la première cause de suicide en France. Les antidépresseurs, la psychanalyse et l’hypnose sont le plus souvent les approches thérapeutiques proposées pour le traitement de la dépression. Force est cependant de constater que les massages peuvent servir de traitement complémentaire voire de traitement à part entière pour la dépression nerveuse. Approches thérapeutiques vieilles de plus de 5000 ans, les massages recèlent des pouvoirs de guérison insondables.
Le choix des techniques de massage destinées à combattre la dépression nerveuse est uniquement du ressort des praticiens confirmés. Les manœuvres toniques au niveau des muscles, comme dans le cas du drainage lymphatique manuel ou du massage Rx, sont souvent exclues dans ce genre de traitement. Le mal qui ronge le patient est certes ressenti au niveau de muscles. Cependant, la cause réelle de la souffrance émane de la dysfonction de certains neurotransmetteurs du cerveau. Les massages musculaires ne sont conseillés que lorsque la personne est totalement libérée de son état dépressif. Autrement dît, les massages musculaires sont proposés à titre d’approche anti-rechute. Ils n’ont aucune valeur curative en ce qui concerne la dépression nerveuse.
Les massages holistiques et psychosomatiques telles que le massage californien ou le massage sensitif Camilli sont préconisés dans le traitement de la dépression nerveuse. Avec ces types de massage, la personne souffrant de dépression nerveuse est prise en charge au niveau de son état émotionnel. Son amélioration transparaît nécessairement au niveau de son état physique. Les massages psychosomatiques sont ensuite complétés par des techniques de massage permettant la stimulation des terminaisons nerveuses de la peau à l’instar de la carressothérapie, la relaxation coréenne ou encore le massage hawaïen. La stimulation de ces terminaisons nerveuses rétablit le bon fonctionnement des neurotransmetteurs et libère le souffrant de son mal de vivre.
Entre le massage classique et le soin de santé, le massage drainant permet d’améliorer la circulation sanguine et le système lymphatique. Découvrons ensemble les bienfaits de ce type de massage.
De nos jours, le stress est un phénomène de société qui naît de multiples raisons telles que le travail, ou encore une situation familiale difficile… Pour le prévenir et éviter la dépression et les prescriptions médicamenteuses qui peuvent l’accompagner - rappelons que la France compte l’un des taux les plus élevés de suicides dans l’Union Européenne - apprenez à vous relaxer, et à voir positif !
Si la grossesse est un moment exceptionnel et privilégié, elle s’accompagne de petits désagréments physiques et émotionnels. Le massage prénatal permet de mieux y faire face et de se relaxer.
À la fin de la semaine, il nous arrive souvent de nous rendre dans un salon de massage pour une séance de détente bien méritée. Mais cette pratique n’est pas uniquement un antistress. Elle permet également de traiter des problèmes physiques ou de santé.
Deux études menées tour à tour par des équipes américaines et canadiennes ont démontré scientifiquement les effets bénéfiques des massages sur les tissus musculaires.
0 | 10
Répondre à cet article